Contre la réforme du baccalauréat suite au rapport Mathiot : le baccalauréat doit demeurer un diplôme de portée nationale. Contre le choix par le recteur ou la rectrice de la mise en place des spécialités dans les établissements par « bassin de formation », forcément inégalitaire pour les établissements « petits » ou isolés.Le paiement des corrections, au même taux qu‘aujourd’hui.
La banalisation des journées d’examen, avec un temps de révision, comme jusqu’à présent.
Contre la délocalisation, pour les élèves, de certains enseignements dans un autre établissement que le leur, voire par la mise en place de cours par correspondance.
Contre la nouvelle circulaire définissant les missions des professeur-e-s principaux-ales, l’augmentation induite de leur charge de travail.
Contre la modification statutaire portant à 2 le nombre d’Heures-supplémentaires-année dans l’emploi du temps hebdomadaire des personnels enseignants dans le second degré.
Contre le lycée modulaire qui individualise la responsabilité des échecs et des réussites des élèves, et ne sert qu’à préparer leur tri social dans le dispositif parcoursup,