Boycott intersyndical

Comité technique du 29 juin

 

Les organisations syndicales SUD Éducation, CGT Ferc-Sup, SNASUB-FSU, SNESup-FSU et SGEN-CFDT réitèrent leur opposition, sur la forme comme sur le fond, à la politique de l'emploi 2018-2019 proposée par la direction de l'Université Caen - Normandie, opposition déjà exprimée par un vote unanime lors du Comité Technique du 14 juin dernier et par plusieurs courriels envoyés sur les listes de diffusion du personnel la semaine dernière.


A l'image des informations fournies pour les enseignant.e.s, les documents relatifs à la politique de l'emploi BIATSS en préparation du Comité Technique du 29 juin ne permettent pas de connaitre l'état et la localisation des postes supprimés d'une année sur l'autre. Par ailleurs, les mesures proposées par la direction sont en très grande majorité des requalifications, redéploiements ou transformations (et non de véritables créations de poste) et se concentrent principalement dans les services centraux de l'Université.


Pour marquer leur opposition à cette présentation opaque de la politique de l'emploi 2018-2019, qui tente de masquer un énième plan de compression de la "masse salariale", les représentant.e.s de nos organisations syndicales au Comité Technique décident de boycotter la réunion de l'instance, ce vendredi 29 juin.


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Boycott des comités techniques

Rassemblement le 23 janvier à 9h

Suppression de 101 postes d’enseignant-es

sur l'ensemble de l'académie

 

Le Recteur de Caen – le bon élève du territoire ?

 

Suite au vote du projet de loi de Finance, le Ministère de l'Education Nationale a attribué à l'Académie de Caen 87 postes d’enseignant-es en moins pour le Second degré. Le Recteur propose de répartir cette perte de la manière suivante : 47 en moins dans les collèges, 29 en moins dans les Lycées Généraux et Techniques et 25 en moins dans les Lycées Pro...

 

Soit 101 postes en moins !!

Ça, s'appelle de l'optimisation !

 

Ça tranche dans le vif dans l'administration aussi ! Avec des suppressions dans les établissements, les services académiques et départementaux.


On nous dit que c'est la faute à la baisse démographique (que les établissements du privé ne connaissent pas!). Il y a quand même 2 fermetures de collèges, 3 fusions de lycées, sans compter les fusions de filières dans les lycées Pro, les fusions d'écoles... Mais il paraît que c'est pour des raisons pédagogiques qu'on entasse !


Baisse démographique + arguments pédagogiques douteux

= économies budgétaires !


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Evaluations CP ?

Le ministère cède !

 

Face à la grogne des collègues et de certaines organisa­tions syndicales, le ministère reconnaît enfin que les éva­luations CP ne sont pas passables en l'état et que les collègues sont libres de les faires passer comme ils le veulent voire de ne rien faire passer du tout puisque aucun texte réglementaire (circulaire acadé­mique ou ministérielle) n'impose ces évaluations... et oui un simple courrier du DASEN ou du ministère ne suffit pas ! Jean­ Marc Huart, directeur de l’enseignement sco­laire (Dgesco), lève lui­même les consignes d’application de l’évaluation de CP via un courrier adressé aux col­lègues : « Il est important que cette évaluation se déroule dans un climat de bienveillance... sans aucun esprit de compétition », « Vous avez la possibilité de ne faire pas­ser qu’une partie des exercices », « Les durées de pas­sation doivent être considérées comme indicatives. ».

 

Petit rappel du contenu


Des évaluations stéréo­typées et bien loin des pratiques scolaires aux­quelles les élèves ont été habitué­e­s en mater­nelle, des consignes incompréhensibles pour un début de CP, un timing de passation sous­-évalué, une évaluation de fran­çais axée sur la maîtrise de la syllabique (ce qui est le programme du CP et pas celui de la GS), aucune suite prévue en terme de moyens pour les écoles (RASED, enseignant­e­s supplémentaires) ...

 

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LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES :
NON À L'USINE À CASES !

Le système éducatif doit garantir la maîtrise d’une culture commune à tous lesélèves.


SUD Education et le SNUipp-FSU rappellent leur opposition au socle commun de la loi Fillon, au LPC et l’école du socle qui en découlent.
SUD Education et le SNUipp-FSU  appellent les collègues à ne pas renseigner le LPC et à faire signer la motion massivement par les conseils des maîtres.


Les personnels des écoles élémentaires et des collèges expriment aujourd’hui leur « ras-le-bol » dans un contexte où la politique et les outils d’évaluation ont subi des transformations importantes face à la nouvelle obligation institutionnelle concernant la validation des compétences du socle par le biais du Livret Personnel de Compétences (LPC) et qui leur pose de véritables problèmes pédagogiques et éducatifs.

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