Nous connaissons tout·es au quotidien, dans nos bureaux, nos ateliers, nos salles de cours ou de lecture à la bibliothèque, ces situations qui nous empêchent de (bien) faire le travail pour lequel nous avons été recruté·es et pour lequel nous sommes (mal) rémunéré.es. De façon insidieuse ou plus brutale, au gré des réformes et des mutations sociales, les métiers à l’Université se modifient, rendant souvent difficile le travail auprès des étudiant·es comme des collègues, et questionnant parfois les motivations qui nous ont fait embrasser notre profession et le service public. Que l’on soit agent.es BIATSS, enseignant.e ou chercheur.e, titulaire ou non, nous sommes tout·es touché·es à un moment ou à un autre par ces transformations, vis-à-vis desquelles nous avons l’impression de ne pouvoir agir.
Télécharger l'intégralité du communiqué |
|||||||
|
- Le vote électronique, un enjeu démocratique
- Doctorant.es et docteur.es sans poste : entre intensification du travail et durcissement de la précarité
- Rentrée universitaire, la ministre passe et tout va bien à l'Université Caen-Normandie ?
- La saison de l’évaluation ou « appréciation de la valeur professionnelle » des fonctionnaires de l'État est arrivée !